Voici une sélection d’articles qui ont retenu notre attention, à lire sur la toile.
Le pacs doit être "approfondi et clarifié". Les conclusions auxquelles sont parvenus les membres du groupe d’évaluation et d’amélioration du pacte civil de solidarité (pacs), dans leur rapport remis mardi 30 novembre à Dominique Perben, garde des sceaux, reprend l’essentiel des revendications des associations homosexuelles.
Un amendement d’un député UMP rendrait le texte inapplicable.
PANDÉMIE Les organisations non gouvernementales dénoncent l’accès insuffisant des populations les plus touchées aux traitements.
Les chiffres montrent une explosion des contaminations par le VIH consécutives à des pratiques à risque chez les homos français.
Plusieurs sénateurs UMP ont affiché leur hostilité à ce texte. Il en sera de même à l’Assemblée, les 7 et 8 décembre, où le débat risque d’être plus houleux. De nombreux élus de la majorité ne cachent en effet plus leurs réticences face à un texte très vertement critiqué la semaine dernière par la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH).
Libération a demandé leur avis à deux députés UMP : Sébastien Huyghe, député UMP du Nord, favorable au texte, et Jean-Paul Garraud, député UMP de Gironde, opposé au texte.
En voulant protéger les minorités sexuelles, le gouvernement s’est lancé dans une police du vocabulaire. Mais gare aux bavures. Est-il encore possible de s’insulter sans risquer la ruine ou la prison ? Un article déconseillé aux yeux chastes et aux oreilles sensibles.
Pour Jean-Paul Pouliquen, les dispositifs répressifs adoptés jusqu’à ce jour ne sont pas efficaces pour lutter contre les maux dont souffrent nos sociétés. En revanche, se gargarisant de mots, ils restreignent la liberté d’expression. Ainsi en était-il du projet de loi relatif à la lutte contre les propos discriminatoires à caractère sexiste ou homophobe que le gouvernement vient de retirer.
Réactions après que le gouvernement ait intégré au projet de loi créant la Haute autorité de lutte contre les discriminations plusieurs dispositions contre les propos homophobes et sexistes.
Afin de contourner l’hostilité des députés UMP, le gouvernement effectue un tour de passe-passe.
Confronté à de nombreuses oppositions, le garde des Sceaux renonce à défendre un texte ad hoc et choisit d’amender la loi sur la lutte contre les discriminations.