Décrire la vie gaie et lesbienne d'une région n'est pas chose facile si l'on ne veux pas tomber dans la sècheresse, l'aridité d'une liste de lieux dit de rencontre, que l'on ne connait pas. Nous avons donc demander à Pierre notre collaborateur de nous en dire quelques mots, dans son style et pour cause.
Tant il est vrai que mon interêt se porte plus particulièrement
sur Limoges et ses alentours. D'abord parce que j'y aime. Non négligeable
me direz vous, suffisant pour masquer tous les défauts de la terre.
Mais y a-t-il des défauts dans le Limousin ?
Certes non, et chaque fois que j'entrais en Creuse, la Sologne s'était
déjà soulevée, la forêt avait arrondie et
herissée à la fois les creux et les courbes. L'apogée
de cette plénitude s'impose avec les monts d'Ambazac; sans doute une
réminiscence des puys du Massif Central de mon enfance. Ainsi porté,
par la nationale 20, vous arrivez à Limoges, couchée sur les
croupes bordant la Vienne.
Le Limousin est une terre de passage, n'appelait on pas la Creuse, la province
de la Marche ?
Une marche qui donnait l'accès Nord-Sud, coincée entre le Massif
Central et le Massif Armoricain.
Le Limousin est aussi une terre d'accueil, un terroir
riche, contrasté, à découvrir, tout pétri d'histoire.
Histoire que vous pourrez par exemple suivre avec la route de Saint Jacques
en Limousin. Les pèlerins ont laissés de profondes empreintes
de leur passage. Vous les retrouverez dans le patrimoine architectural, et
artistique de la région.
Et maintenant, visitons Limoges
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Pierre Léonard |