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karaboom
club gay de karaté

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le karaté

un art martial

 

un art de combat

Art de combat à mains nues, le karaté permet d'éduquer le corps et l'esprit afin de trouver une réponse appropriée à toute forme d'agression. Il met à la disposition du pratiquant un éventail de techniques très large basé sur l'utilisation des armes naturelles du corps humain pieds, poings, coudes, genoux, etc.

une histoire

L'histoire du karaté remonte à la nuit des temps... Sa technique aurait vu le jour en Inde. Un moine aurait ensuite introduit cet art de combat, complémentaire de la méditation, en Chine. De là, il s'est répandu à travers tout l'Extrême-Orient, sous différentes appellations (Kung fu, Taï chi chuan), avant d'être enseigné au début du siècle au Japon et dans les années cinquante en France.

une philosophie

La pratique du karaté vise à l'épanouissement physique et spirituel de l'individu. Grâce à l'acquisition des notions d'équilibre, de confiance en soi et d'harmonie, elle doit permettre au karatéka de vivre en parfaite symbiose avec son environnement.

karaboom

le sport gay

 

carte d'identité

Karaboom, association sportive loi 1901, est née en 1993 sous l'impulsion d'Oliver Wehlmann, deuxième dan de karaté, qui en assure les entraînements. L'association, membre de la Fédération sportive gaie et lesbienne CGPIF, compte actuellement une trentaine de membres.

un style

Il existe différents styles de karaté (Shotokan, Wado Ryu, etc.) dont l'enseignement est quelquefois revisité par diverses écoles d'interprétation. Au sein de Karaboom est étudié le karaté-do Shito Ryu Kakushinkan. Ibo Muneaki, le responsable de ce style, vivait à Akashi, au Japon.

un état d'esprit

Filles et garçons, jeunes et moins jeunes, débutants, initiés... l'association est résolument ouverte à tous.

 
Depuis sa création les adhérents ont instauré et entretenu une atmosphère conviviale qu'ils ont su rendre compatible avec un travail rigoureux. Le mot d'ordre: pratiquer le karaté avec sérieux, sans se prendre au sérieux!

au-delà des frontières

Des échanges ont lieu entre Karaboom et d'autres clubs gays européens en particulier les karatékas amsteldamois (les Tijgertje), munichois (Bushido e.V.), berlinois (les Gaysha) ou londoniens (Fudoshinkai Karate England).

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les entraînements

 

fréquence

Les cours ont lieu deux fois par semaine, de septembre à juin (et autant que possible l'été). Ils durent chacun environ deux heures. Pas de tyrannie bien sûr au sein de l'association mais il ne faut pas ignorer qu'une certaine assiduité est la condition nécessaire d'une progression individuelle satisfaisante.

déroulement

Chaque cours commence par un échauffement méthodique d'une trentaine de minutes qui vise à entretenir et développer souplesse et puissance. Ensuite, les divers aspects traditionnels du karaté sont travaillés, notamment les combats libres, les techniques à deux et les katas (Les katas sont des combats codifiés que le karatéka livre à des adversaires fictifs).

suivi

Chaque élève est assuré d'un suivi personnalisé. L'entraîneur ainsi que les karatékas détenteurs de ceintures supérieures sont toujours disponibles pour assister et accompagner les autres karatékas dans leur évolution, particulièrement les débutants.

renseignements pratiques

Cotisation

La cotisation est de 450F pour une année.

Dans la mesure où l'enseignement est adapté à chacun, il possible de débuter à n'importe quel moment de l'année.

Lieux d'entraînement

Le mardi et le vendredi de 19h30 à 21h30 (environ)
Salle des agrès du lycée François Villon

16bis, avenue Marc Sangnier, Paris 14e
Mo Porte de Vanves
Durant l'été les entraînements ont lieu à l'extérieur (téléphoner)

Pour nous contacter

Pour tout renseignement, téléphoner au 01 48 05 55 17 (Alain, fax : 01 48 05 55 95).

Vous pouvez nous écrire à l'adresse suivante:

Karaboom

chez M. Alain Nottelet
75, rue St Maur
75011 Paris
Le courier électronique marche aussi: MFPAN@AOL.Com.

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Sommaire  		 Cette page a été réalisée par Yannis Delmas
pour Karaboom et les Gais et Lesbiennes Branchés
d'après une plaquette de Jean-Jacques Cambier.
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